Montrer et démontrer que demeure une continuité dans un certaine propagande très éloignée de la réalité, qui occulte la vérité et que les réformes promises sont toujours attendues

mercredi 18 novembre 2009

LES POLITICIENS DE LA 5 EME SONT DES COMPTABLES MAIS PAS DES ECONOMISTES

En cours

Plus on étend la CSG donc plus on l'augmente, plus le déficit de la protection sociale augmente.Il y a une correlation entre les 2 phénomènes, ce qui est logique puisque le rapport de cet impôt était de 83,2 milliards d'euros plus que l'impôt sur le revenu (50,7 milliards)ou que l'impôt sur les sociétés (49,6 milliards d'euros).
Il y a en France chez les politiciens de la 5 ème République un déficit de culture économique.
Quand on veut gouverner un pays( pour bénéficier de privilèges), il faudrait avoir au moins un minimum de connaissance économique et surtout ne pas se comporter en comptable. La comptabilité n'est qu'une technique , l'économie une science.
Est-ce qu'un comptable comprendrait que si on la baisse jusqu'à la supprimer on ramènera le déficit à ce qu'il était avant la mise en place de la CSG dès que la crise que nous ont intégré nos banquiers, nos financiers se sera résorbée.
Cet impôt comme la taxe professionnelle ont été crées par des z-énarques donc des bureaucrates, Rocard et Chirac, pour conserver aux privilégiés de cette République leurs énormes avantages.
Woerth(!!!) et les politiciens de l'Assemblée nationale veulent supprimer ce qu'ils dénomment les niches fiscales. Parmi celles concernées il y en a 2 dont la suppression aura des conséquences déplorables pour l'emploi donc pour la croissance. C'est celle qui instaure un prélèvement de 12,1%( CSG, CRDS ...... RSA) sur les gains de cession de valeurs mobilières dès le premier euro.Ceci est d'ailleurs une "escroquerie" car le fisc souévalue le prix d'achat de l'action. Là on agresse les investisseurs qui vont continuer à détourner leur épargne des entreprises. Cela concerne non seulement les investisseurs nationaux mais aussi les investisseurs étrangers. En 2008 ceux-ci ne détenaient plus que 39,2% de la capitalisation boursière contre 45,7 en 2006 soit - 6,5% et cela s'accelère à l'annonce de la suppression de l'abattement et ce reflux de capitaux étrangers pénalise gravement 3 entreprises françaises.
La seconde c'est celle qui veut supprimer les souscriptions au capital des PME qui sont bien plus risquées que celles des grosses sociétés encore que quand elles sont gérées par des comptables, les inspecteurs des finances, les risques sont aussi importants.Il est bon de rappeller que les PME allemandes participent pour une part importante aux centaines de milliards d'euros d'excédent de la balance commerciale allemande alors qu'en France notre balance est déficitaire. A croire que ces politiciens veulent aggraver un peu plus le déficit de notre balance et donc le chômage.
Il est des niches fiscales que nos politiciens se gardent bien de toucher.
Ce sont celles qui concernent les allocations des fonctionnaires européens( primes de dépaysement,de foyer,pour enfant,scolaire, préscolaire, d'installation,de réinstallation..)et les avantages divers concernant le régime spécial de retraites et les remboursement des frais médicaux.Ce sont celles qui concernent les députés français et européens qui sont nocives pour l'économie. Ce serait déjà un bon pas vers la suppression des traitements de tous les élus dont il convient de ramener leurs fonctions à une charge et non un privilège.Ce qui évitera la démagogie à laquelle les électeurs sont soumis afin de continuer à se bourrer les poches de fric
(1)
Ce sont celles qui concernent les primes de départ des "grands patrons"entre autres, les stocks options, les actions gratuites à ces patrons qui bénéficient du bouclier fiscal

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